Chaque début de saison, ces quelques mots sonnent comme une ritournelle.
Les premiers semis se font avec l’appréhension des débuts : est-ce que les graines sont trop recouvertes ? Assez arrosées ? Trop ? Germeront-elles ? Et une fois germées, arriverons-nous à éviter la fonte ? Alors on guette les premières levées et quand celles-ci arrivent aussi tôt qu’espérées, on souffle un peu… On a gardé la main.
Pendant ce temps, on essaie de mettre derrière nous les dernières réparations. Cette année, ce sont les freins du tracteur qu’il faut changer. Nouveau défi : la mécanique est pour celui qui la maîtrise aussi satisfaisante que stressante; et demande autant de précision et de minutie que les semis !
Deux belles surprises en ce printemps atypique : la rhubarbe semée au printemps dernier a émergé en folie ! Et nous avons pu ouvrir une première parcelle de justesse avant le retour de la pluie. Ce premier hersage a permis de briser l’engrais vert semé à l’automne. Aux prochains passages de herse, nous préparerons les planches qui accueilleront les premiers semis extérieurs.
Une belle passion !
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Merci pour ces belles photos ! A notre petit niveau de jardinier amateur, on partage les mêmes doutes printaniers… on se sent moins seuls 🙂 Bises
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Bonjour à vous deux!
Merci pour le bel article. Ce sont des très bonnes nouvelles et nous sommes très excités de recevoir nos premiers bons légumes.
Merci encore pour tout ce que vous faites! Géraldine et François xxx
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